Un ministre, ça sert à quoi ?
J'ai failli applaudir…
Tirer au sort, c'est la démocratie ? Vraiment ?
Le loto citoyen !
Essayez d'être élus !
Il y a des parlementaires qui doivent se taire ?
M. Castaner est innocent !
Je vous invite tous à venir visiter cette commune alsacienne. Si je prends la parole, monsieur le Premier ministre, c'est simplement pour dire que j'ai peur pour l'avenir de mon pays qui s'abime à coup de dettes. Soyons clairs, je ne critique en rien les plans de relance, indispensables aujourd'hui comme ils l'étaient après la crise de 2008. Mais je déplore ces années où, pendant que l'Europe du nord équilibrait ses comptes, la France jouait la cigale. Résultat : avant la crise, la dette publique était de 35 500 euros par Français et de 87 000 euros par Français occupant un emploi. Les Français savent-ils qu'avant la crise, si les comptes publics avaient dégagé ...
Ce n'est pas sans émotion que j'interviens pour la dernière fois dans cet hémicycle, ayant été réélu maire de la ville de Molsheim.
Les soignants en ont aussi manqué !
C'est une vraie question.
Dites voir à qui vous pensez ?
On ne peut pas dire que l'humilité soit la qualité première du Président de la République…
D'Indonésie !
C'est l'avenir !
J'ai une deuxième question très courte, que je peux résumer, en vous remerciant, madame la présidente, pour votre compréhension : le droit européen ne devrait-il pas changer – les marchés actuels sont ouverts aux quatre vents – pour assurer une production nationale…
Il est toutefois important de relever que, lors de l'épidémie de grippe H1N1, la France détenait des quantités considérables de masques, alors qu'au mois de mars dernier, nous sommes entrés en guerre sanitaire très désarmés, presque sans stock et pourvus de trop peu d'équipements. Monsieur le ministre, madame la secrétaire d'État, après trois ans d'exercice du pouvoir, il appartient à votre majorité d'assumer cette situation, au lieu de se réfugier derrière des décisions très anciennes ; en trois ans, il était possible de tout rétablir. À ce sujet, je crois qu'il serait intéressant d'étudier les communications de l'ambassade de France à Pékin pour ...
Le masque est devenu l'emblème absolu de la crise sanitaire majeure que nous traversons. Je ne veux pas polémiquer sur la gestion de la crise car on ne saura jamais si d'autres auraient mieux fait que le gouvernement actuel.
Il était où, Macron ?
Sarkozy, reviens !
Et les infirmières libérales !
Ils dépassent les trente-cinq heures ?
Ce sont de bonnes questions !
Un pôle public, bien sûr !
Ils ne la connaissent plus dans la majorité ! Ils ont oublié son nom !
Ce qui est bizarre, dans votre phrase, c'est l'emploi du « nous ». « Vous » avez créé des emplois industriels ?
Voilà qui est clair !
De quelle taille sont-elles ?
Le confinement des gendarmes et de leurs familles pose la question du logement et de sa qualité. Les nouvelles générations de gendarmes appellent-elles à d'autres modes de logement que le casernement ?
Qu'avez-vous appris à l'occasion de cette opération mulhousienne ? Avez-vous rencontré des difficultés particulières qui vous conduiraient à modifier certains protocoles ou certains modes organisationnels ? La couverture sanitaire des militaires participant à des Opex a-t-elle été maintenue ou avez-vous dû procéder à des redéploiements de moyens ?
Vous y êtes, au fond !
Il est nul, ce n'est pas possible !
Mais où sont les réponses aux questions ?
Vous avez souligné que la prospérité constituait un facteur de paix, parce que, finalement, des peuples qui vivent bien ont moins tendance à vouloir se battre et entrer en guerre, ce qui est vrai partout sur la planète. Certes, la prospérité ne suffit peut-être pas toujours à garantir la paix, mais elle y contribue beaucoup. Le Sahel est l'une des régions du monde, sinon la région du monde où le taux de fécondité est le plus fort. La population progresse très vite, mais la richesse ne progresse pas. Il y a donc une dégradation de la richesse par habitant. Comment, dans le cadre de vos travaux, avez-vous abordé la question démographique ? Je pense par ...
Une réponse digne d'une éolienne ! Ce sont quelque 2 000 emplois qui vont disparaître !
Soixante-dix années ne représentent rien à l'échelle de la pousse d'un arbre ou d'une forêt. Aussi nous gardons-nous, comme ici avec vous, de politiser le sujet. La forêt représente une chance extraordinaire, et elle doit faire l'objet d'un pilotage déterminé pour développer la filière bois.
La forêt française occupe 17 millions d'hectares, auxquels il faut ajouter les surfaces de forêt particulièrement vastes des outre-mer ; la filière bois amont et aval représente 440 000 emplois. La forêt couvre 31 % du territoire national et augmente de 0,5 % par an environ, soit la surface de plus de 300 terrains de football par jour, principalement en raison de la déprise agricole, très forte en moyenne montagne. Notre forêt est donc un poumon vert et un puits de carbone pour la nation ; elle est aussi une chance pour notre économie. En Allemagne, cependant, la forêt couvre 11 millions d'hectares et procure 1,2 million d'emplois, ce qui suggère le potentiel ...
Quid du Népal et du Bhoutan à l'heure actuelle ? Ce sont deux petits territoires interstitiels entre des géants, ce qui signifie qu'il y a des enjeux. La situation est-elle apaisée ? Une « voie du nord » est en train de s'ouvrir : si l'on raisonne en flux et que l'on se projette à cinq ans et à dix ans, les enjeux sont-ils en train de changer ? De quelle manière les Terres australes et antarctiques françaises (TAAF) peuvent-elles constituer un atout pour la France ? Cela représente 3,5 millions de kilomètres carrés, si l'on inclut Clipperton – je rappelle que notre espace maritime en compte 11,5 millions. Enfin, ne sommes-nous pas un peu des « rigolos » dans ...
Un applaudissement, un !
On le sait, mais ça n'a pas l'air de fonctionner !