Les amendements de Agnès Thill pour ce dossier
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Je ne peux qu'intervenir au sujet de la détresse psychosociale des femmes. Nous parlons bien de l'interruption médicale de grossesse, et non de l'IVG. Une interruption médicale de grossesse peut être pratiquée pour deux raisons : soit la grossesse met en péril grave la santé de la femme, soit l'enfant est atteint d'une pathologie particulièreme...
C'est la vérité ! D'un côté, ce serait légal ; de l'autre, ce serait un infanticide. Comme cela a été dit, la détresse psychosociale est indéfinissable sur le plan juridique. Est-ce tout ce que nous avons à offrir ? Je le répète, la frontière sera absolument invisible entre l'IVG et l'IMG, et ce, jusqu'au terme de la grossesse.
Une fois encore, la détresse psychosociale n'est pas définie juridiquement. Comment juger qu'une femme se trouve dans cette situation, et est-ce tout ce que nous avons à lui proposer ? Enfin, la frontière entre l'IVG et l'IMG sera très difficilement visible, voire invisible, jusqu'au dernier mois. La membrane de l'utérus, je le répète, sera la ...
Il vise à maintenir en l'état l'alinéa 3 de l'article L. 2213-1 du code de la santé publique, qui offre aux femmes un délai de réflexion d'au moins une semaine avant de décider d'interrompre ou de poursuivre leur grossesse.