Les amendements de Alexandre Holroyd pour ce dossier
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neuf jours, il reste neuf jours aux Britanniques pour décider dans quelles conditions le Royaume-Uni quittera l'Union européenne. Cela pourrait paraître simple : c'est, après tout, un accord négocié par la Première ministre, soutenue par son gouvernement, que la Chambre des communes est appelée à ratifier. Pourtant, les parlementaires britanni...
Cela dit, nous ne sommes pas seulement les spectateurs de cette débâcle : 350 000 de nos concitoyens vivant au Royaume-Uni se couchent chaque soir dans l'angoisse de savoir si leurs droits seront préservés demain.
Pourront-ils se faire soigner comme hier ? Garderont-ils leur emploi, leurs droits à la retraite ? C'est vers vous, madame la ministre, que leurs regards se tournent dorénavant. Dans nos ports, notamment à Calais, là où transitent chaque année plusieurs dizaines de millions de tonnes de biens, nos fonctionnaires et nos entreprises sont confron...
… il y a plusieurs mois, le Parlement a donné au Gouvernement des pouvoirs importants, les coudées franches, pour se préparer à un Brexit dur. Nos viticulteurs, qu'ils soient dans le Bordelais ou dans le Cher, nos champions industriels, comme Airbus ou EDF, et nos PME, partout en France, …
… sont-ils prêts à faire face à ce choc ? Enfin, il apparaît que la Première ministre britannique s'apprête à demander au Conseil européen un nouveau report du Brexit. C'est une demande lourde de conséquences pour l'Union européenne. Quel regard notre pays et le Gouvernement portent-ils sur cette requête ?
Il y a deux ans et demi, j'ai été le témoin de la campagne référendaire britannique sur l'éventuelle sortie du Royaume-Uni de l'Union européenne. Je me souviens encore des promesses de certains responsables politiques britanniques. Sortir de l'Union ? Enfantin ! Les conséquences économiques pour le Royaume-Uni ? Négligeables ! Les acquis perdus...