Publié le 11 janvier 2019 par : Mme Ménard.
Cet amendement a été déclaré irrecevable après diffusion en application de l'article 98 du règlement de l'Assemblée nationale.
Pour que la victime ne soit plus une « demi-partie » au stade de l'application des peines, cet amendement propose qu'elle puisse faire appel des décisions prises par le juge d'application des peines et le tribunal de l'application des peines, en particulier pour les décisions de libération conditionnelle.
Par cette faculté dont le corollaire logique est la possibilité générale qui doit lui être offerte de formuler, à l'instar de l'autre partie des observations écrites, elle pourra en outre veiller à ce que sa parole soit réellement prise en compte, à égalité des armes avec son agresseur condamné.
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