Publié le 10 septembre 2019 par : Mme Ménard.
Supprimer cet article.
À en croire l’exposé des motifs, l’article 7 permettrait de renforcer l’autonomie des personnes faisant l’objet d’une protection juridique.
Il semble en réalité que cet article engendre un risque d’abus envers les personnes faisant l’objet d’une protection juridique dont, par définition, la capacité de discernement est altérée.
Il convient donc de laisser aux personnes qui les représentent le soin de les aiguiller en matière de don d’organes, de tissus et cellules humaines.
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