Publié le 12 octobre 2019 par : Mme Brocard.
Cet amendement a été déclaré irrecevable après diffusion en application de l'article 98 du règlement de l'Assemblée nationale.
Aujourd’hui, les deux tiers des patients ont recours à un traitement alternatif en parallèle de leur traitement anticancéreux.
La moitié de ces patients ne parlent pas à leur oncologue des traitements alternatifs qu’ils suivent.
Cet amendement vise à permettre au médecin d’intégrer des pratiques non conventionnelles dans le parcours de soins d’un malade suivant un traitement lourd et douloureux.
Cette possibilité permettra, en outre, de renforcer la relation médecin-patient en permettant un dialogue sur l’ensemble des soins auxquels le malade a recours.
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