Publié le 3 février 2020 par : M. Houlié, M. Taché, Mme Dupont, M. Orphelin, M. Zulesi, Mme Rilhac, Mme Jacqueline Maquet, M. Trompille, M. Kokouendo.
Compléter l’alinéa 5 par la phrase suivante :
« Le délai est porté à cinq ans pour toute demande fondée sur la rectification d’une erreur matérielle, d’apport d’éléments nouveaux ou d’une erreur de droit ».
Le texte présenté par le gouvernement prescrit toute révision au terme d’un délai de 2 ans. Cette prescription devrait être identique à celle de droit commun en cas d’erreur matérielle, de découverte d’éléments nouveaux ou d’erreur de droit.
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