Publié le 31 mai 2021 par : Mme Ménard.
Rédiger ainsi le début du septième alinéa :
« En cas de procréation médicalement assistée, font obstacle... (le reste sans changement) ».
L’expression « Lorsqu’il s’agit d’un couple, » laisse à penser qu’il pourrait en être autrement dès lors que la PMA est autorisée et donc pratiquée par une femme seule.
La PMA post-mortem ne doit pas être un projet de société, que ce soit pour les couples ou les femmes célibataires, car cela nous conduirait à de graves dérives éthiques ou des vivants pourraient avoir des enfants avec des morts alors même que l’enfant n’a pas été conçu avant la mort de la personne décédée.
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