Publié le 3 avril 2021 par : M. Ravier.
Dans le troisième alinéa, substituer aux mots « spécialiste de l ’affection dont souffre la personne » le mot « psychiatre »
Si l’on se base sur l’expérience de l’Oregon citée dans le numéro de janvier 2019 de la Revue du praticien, l’absence d’évaluation psychiatrique fait problème, la consultation d’un seul psychiatre pouvant au surplus rendre la réalité du diagnostic difficile. A défaut cet amendement propose la consultation d’un psychiatre.
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