Les amendements de Annie Genevard pour ce dossier

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Nous pensons, pour notre part, que l'attractivité du système d'enseignement supérieur français ne doit pas tenir à la modicité des frais d'inscription, mais à la qualité de l'enseignement délivré.

Je vais vous donner un exemple. Moi qui suis l'élue d'un territoire frontalier avec la Suisse, je peux vous dire que l'École polytechnique fédérale de Lausanne – EPFL – est plébiscitée par les étudiants du monde entier alors que les frais d'inscription y sont différenciés selon la nationalité. Après tout, puisque le coût de l'enseignement supér...

L'amendement de notre collègue Patrick Hetzel est frappé au coin du bon sens : il ne s'agit pas d'interdire aux étrangers l'accès à nos universités, mais de prévoir leur juste contribution au financement de notre enseignement supérieur. Cela ne nous paraît pas insensé ! Il ne s'agit pas de rejeter les étudiants étrangers qui viendraient dans no...

Nous voulons obtenir des informations sur la réforme du baccalauréat et l'expression des « attendus », qui sont une des nouveautés de ce projet de loi. Aussi demandons-nous au Gouvernement, par le moyen de cet amendement, qu'il transmette à l'Assemblée, dans un délai d'un an à compter de la promulgation de ce texte, un rapport évaluant la maniè...

Je comprends bien ce que vous dites ; mais avant d'être mise en oeuvre, cette réforme sera certainement discutée au sein de notre commission, puis dans l'hémicycle. Certes, un an après la promulgation de ce texte, la réforme du baccalauréat ne sera pas achevée, mais avant qu'elle le soit, il y aura tout un travail de préparation. Il nous semble...

En tout état de cause, la réforme de l'entrée à l'université conditionne peu ou prou celle du baccalauréat.