Les amendements de Boris Vallaud pour ce dossier
8 interventions trouvées.
J'irai dans le même sens que notre collègue Dharréville. Qu'est-ce qui vous permet d'espérer, monsieur le rapporteur général, que la non-compensation ne se reproduira pas l'année prochaine ? Ensuite, nous savions, dès la discussion du projet de loi de programmation des finances publiques pour les années 2018 à 2022, que le Gouvernement envisage...
L'explication du rapporteur général était sans doute claire, mais je l'ai trouvée un peu alambiquée et je ne suis pas certain de l'avoir comprise. Dans le dispositif en faveur des JEI que nous avons adopté en première lecture, la compensation était intégrale. Avec cet amendement, vous proposez une compensation partielle. Pour ma part, je consid...
Je ne nie pas l'intérêt de ce dispositif que je connais très bien. En revanche, je pense que nous n'avons pas à nous référer à un rapport rédigé par des gens qui n'ont pas été élus. Nous entendons sans cesse parler du rapport Charpy-Dubertret mais, en ce qui me concerne, je m'en fous un peu !
Je veux simplement que la compensation soit intégrale et non pas forfaitaire. Ce principe, que nous avons défendu pour d'autres dispositions, permettrait de financer ce dispositif qui, en effet, n'est pas mauvais.
Que dire, à ce stade de la discussion, que nous n'ayons pas déjà dit hier dans l'hémicycle ? Le présent amendement vise à supprimer les alinéas 3 à 8, qui autorisent la non-compensation par l'État des allégements de cotisation qui ont été consentis, au risque d'accroître les tensions que subit la sécurité sociale. Qu'il me soit permis de citer...
Quelle que soit notre appartenance politique, nous sommes tous préoccupés par la situation des hôpitaux et nous avons formulé des propositions qui s'expriment dans le débat parlementaire, notamment lors de l'examen du PLFSS. Le groupe Socialistes et apparentés a proposé de desserrer l'étau avant des états généraux qui devront poser des question...
Nous pensions, M. Dharréville et moi-même, que la grande réforme du quinquennat concernerait les retraites. Il faut croire que vous ne faites que de très grandes réformes.
Nous ne pouvons que vous en féliciter, même si nous ne les approuvons pas sur le fond. Je sais parfaitement que la mesure que nous proposons relève de la loi organique et qu'elle encourrait la censure constitutionnelle, si d'aventure il vous prenait l'envie de l'adopter. J'observe toutefois que vous n'avez pas donné votre avis à son sujet, mon...