Les amendements de Brigitte Bourguignon pour ce dossier
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Vous prétendez que des députés pourraient s'affranchir de révéler leur vote ; permettez-moi de rappeler le nombre considérable de scrutins publics qui ont été demandés à chaque étape de l'examen de ce projet de loi. Nos votes sont donc bien consignés.
Monsieur Jumel, citez vos sources jusqu'au bout ! Les auteurs de la tribune sont des économistes opposés à la réforme. Pouvez-vous nous rappeler leur identité ?
Ce n'est pas un rappel règlement, j'ai le droit de parler quand je veux monsieur Pradié, ne vous en déplaise. La loi organique que nous étudions depuis plusieurs jours…
Le texte organique que nous étudions depuis hier a été discuté, amendé et voté tout à fait normalement en commission spéciale il y a trois semaines. Je ne comprends pas vos propos, qui laissent penser que nous n'avons pas de débat. Ce débat a eu lieu et nous nous appuyons sur des avis rendus en commission. Je ne vois pas ce qui diffère de la se...
Je voulais abonder dans votre sens, monsieur le président, et demander que les débats s'apaisent. Depuis un quart d'heure, j'avais vraiment la sensation d'être dans une cour d'école. Toutes ces réactions du genre « c'est pas moi, c'est lui ! » sont vraiment du niveau primaire. J'ai honte en pensant aux élèves qui nous regardent aujourd'hui dans...
Ce n'est pas une députée du groupe La République en marche, mais une députée du groupe MODEM !
Je souhaite revenir sur un point de sémantique, car je crois que nous tournons en rond depuis quelque temps. Il existe une différence profonde entre débat, idées de fond et travail parlementaire, et c'est cette différence qui se fait jour aujourd'hui. Nous sommes le législateur. Je suis d'accord pour que soit mené un débat de fond sur des idée...
Ces discussions générales à répétition ne sont pas du travail parlementaire. Voilà ce qui est dénoncé aujourd'hui. Je n'ai pas d'avis, je dis simplement qu'il ne faut pas jouer sur les mots : personne ici n'est fatigué de débattre, c'est la répétition qui est fatigante pour tout le monde.
Monsieur le président, à ce moment de notre débat, j'aimerais que la sérénité revienne sur tous les bancs sans exception, et que nous ne remettions pas en cause, par quelque biais que ce soit, la présidence, quelle qu'elle soit.
Ce matin, nous pouvons saluer la présidence de M. Le Fur, qui a été parfaitement conforme à ce qu'elle doit être dans notre hémicycle.
Monsieur le président, je voulais vous présenter des excuses ; je pense que c'est important pour la suite de nos débats. J'aimerais maintenant que chacun se replonge dans nos travaux sur le fond, car c'est ce que nous souhaitons. Nous en parlions avec Mme Annie Genevard, vice-présidente de notre assemblée, il y a quelque jour, et cela se vérifi...
Oh ça va, d'autres sont arrivés en cours de route, et on ne leur fait pas la remarque !
Chirac y passait jusqu'à dix-sept heures et tous les présidents y sont allés ! Ce n'est pas correct !
Je serai plus brève. Nous avions un texte à examiner et il n'est pas de notre fait qu'après huit jours, nous n'en soyons encore qu'à l'article 1er – alors que nous renvoyons à chaque fois vos questions à l'examen des futurs articles. Vous vous rendez compte vous-mêmes aujourd'hui que l'absurdité est à son comble puisque nous en sommes toujours ...
Il n'est pas de notre fait non plus qu'après avoir déposé de nombreux amendements, vous ayez adopté une nouvelle stratégie consistant à déposer, en outre, des sous-amendements.
Nous avons largement dépassé cette étape de nos débats car, depuis, votre demande de réintégration des amendements supprimés a été satisfaite ! Mais cela n'a rien changé à votre stratégie.
Si vous souhaitez vous exprimer, madame la députée, je vous invite à prendre le micro. Je conclurai franchement mon propos : si vous souhaitez que nous examinions réellement les sujets de fond comme cela semble être le cas aujourd'hui, samedi à 15 heures 30 – puisque nous avons encore perdu une demi-heure – , retirez donc vos sous-amendements u...
J'aimerais que l'on rappelle, comme certains collègues l'ont fait hier, que le rôle de la présidente n'a pas à être remis en question. Vous avez su respecter cette règle pour les autres présidences, chers collègues, et j'aimerais qu'il en aille de même ce soir.
ou parce que vous en avez décidé ainsi que vous pouvez changer les règles en cours de route. Elles ont été décidées en conférence des présidents et ne changent pas avec la personne qui préside. Le respect est dû à chacun.
On en est toujours à l'article 1er, depuis presque une semaine, sans compter le travail en commission : c'est bon, ça suffit !