Les amendements de Charles de Courson pour ce dossier
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Monsieur le ministre, je suis comme tous les êtres humains : je peux me tromper. Mais vous ne pouvez pas me reprocher de ne pas travailler et de ne pas être présent. Les propos que vous avez tenus tout à l'heure à mon endroit sont inacceptables de la part d'un ministre.
C'est un premier point. Deuxièmement, concernant la gestion des ressources humaines des préfectures, j'ai dit que les bureaux des associations n'étaient – pour le moins – pas particulièrement privilégiés.
Puisque je vous le dis ! Faites une enquête, et vous verrez ! Je peux vous dire que dans mon département, lorsqu'un chef de bureau est malade, c'est au bureau des associations !
Quant au prosélytisme abusif, qui est visé dans l'avant-projet de contrat, relève-t-il du règlement ou de la loi ? Vous n'avez toujours pas répondu à cette question, de même que vous n'avez pas précisé non plus la façon dont vous contrôleriez le caractère abusif du prosélytisme ! C'est bien là que se situe le problème !