Les amendements de Charles de Courson pour ce dossier

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Pouvez-vous nous expliquer, monsieur le ministre, comment vous comptez financer l'intégration des RS, qui contribue généralement à majorer les dépenses de l'État ? Le financement est-il assuré sur l'enveloppe dédiée ou fait-il l'objet d'une dotation particulière ? L'exposé sommaire de l'amendement ne le précise pas.

Cet amendement est plein d'humour, monsieur le ministre, puisque sa portée est de 2 023 euros ! Cette somme est probablement supérieure à celle qui résultera des calculs liés aux transferts, très incertaine…

En effet, monsieur le ministre délégué, l'amendement de M. Carrez ne s'applique qu'au flux, pas au stock. Par ailleurs, il faudrait le compléter par un dégel, peut-être sélectif, du coefficient correcteur, ou coco.

Bien sûr que si ! Un coefficient correcteur de 1,6 ou 1,7 ou 1,8 constitue une désincitation flagrante pour les communes, comme l'expliquait Gilles Carrez. C'est un problème que nous avions identifié lors de la réforme : le coefficient correcteur a été conçu pour neutraliser l'année n, mais il n'est pas possible de maintenir un gel du coefficie...

Il arrive souvent que des présidents de séance – il ne s'agit pas de vous en particulier – ne voient pas mes demandes d'intervention. Je claque ainsi des doigts pour être sûr que vous m'avez vu, ce qu'il vous suffit de me confirmer d'un petit signe. Le problème de fond est que nous n'avons pas été au terme de la réforme de la taxe d'habitation...

Et nous commençons à voir des communes dans lesquelles les résidents secondaires ont pris le pouvoir. Quand il y a 50 % de résidents secondaires, ils finiront, s'ils sont maltraités, par s'inscrire sur les listes électorales pour se débarrasser de l'équipe municipale. C'est un système très pervers. Une autre solution consiste à geler les taux ...