Les amendements de Christophe Blanchet pour ce dossier
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Oui, la catastrophe sanitaire exige encore de la part de tous des efforts pour freiner l'épidémie, pour protéger les plus vulnérables et par respect pour les familles endeuillées, pour les malades et les convalescents, et pour les soignants. Les Français font preuve d'une résilience exceptionnelle mais il y a danger à ne pas entendre la fatigue...
En préambule de cette première intervention et des suivantes, conformément à l'article 80-1-1 du règlement de l'Assemblée et sur les recommandations de la déontologue, j'informe l'Assemblée, au cas où elle ne le serait pas déjà, que j'ai exploité pendant vingt ans des discothèques, que j'ai été pendant quinze ans un représentant syndical des ac...
Au mois de juillet, nous avons voté la fermeture des discothèques jusqu'au 31 octobre. À partir de deux exemples étrangers, nous avons acté le fait qu'il existait un risque de propagation du virus pour les jeunes se rendant en discothèque. À l'époque, 150 députés, dont M. le président Le Fur, avaient alerté le Gouvernement sur ce qui se passera...
Ceux qui ont déposé ces amendements ne sont pas irresponsables. Nous sommes conscients de la situation. Entendez bien le message : la situation est si anxiogène qu'elle pourrait finir par déborder, sans que nous puissions prévoir ce qu'il adviendra alors. Il convient tout d'abord d'accepter ce constat. Accordez aux gérants de discothèques la f...
Vous n'êtes pas la seule. Elle n'est pas, du reste, réservée aux jeunes. Tout le monde est concerné. Le protocole proposé, dès le mois de juillet – j'insiste sur ce point – , par les gérants de discothèque, qui n'a pas été examiné par le ministère de la santé, est très clair. Il prévoit la prise de température à l'entrée des clubs, la vérificat...
Il tend à prolonger le régime transitoire jusqu'au 31 décembre 2020, et non jusqu'au 1er avril 2021. Revenons aux discothèques –
cela fait un peu fil rouge, mais nous avons bien compris qu'il s'agissait d'un sujet important. Si nous sommes nombreux à être intervenus sur le sujet, c'est parce que l'on nous en parle dans les territoires. Monsieur le secrétaire d'État, vous avez dit que nous étions regardés par ceux qui travaillent dans ce secteur. C'est vrai. Au 1er juill...
Députés, voulais-je dire, même s'il est vrai que certains d'entre eux étaient aussi dépités. Il a donc fallu cette mobilisation, notamment mardi dernier, devant l'Assemblée, pour qu'un nouveau décret soit rédigé. Il a été publié ce matin, et on ne peut que remercier le Gouvernement d'avoir entendu ces demandes
et compris l'urgence qu'il y avait à accompagner économiquement toutes les discothèques et les professionnels qui, depuis le 16 mars, ne faisaient que dépenser de l'argent, sans que la promesse « zéro recette, zéro dépense » ne se concrétise pour eux – mais c'est un autre sujet. On voit bien qu'il y a parfois des failles, monsieur le secrétair...
Je reviens sur une notion importante abordée par le secrétaire d'État, qui a indiqué que le Conseil d'État avait rejeté le protocole proposé, en invoquant la nature intrinsèque des discothèques. Qu'est-ce donc que cette nature intrinsèque ?
Je vais m'exprimer, monsieur le président : cela me permettra de poursuivre mon propos ! Il est tellement rare qu'on parle de discothèques dans l'hémicycle, que je vais prendre un peu de temps. Qu'est-ce que la nature intrinsèque d'une discothèque, qui l'empêche aujourd'hui de proposer un protocole pour permettre une ouverture réglementée, sur...