Mesdames, Messieurs, Depuis février 2020, la France fait face à la gestion de pandémie mondiale du coronavirus.
Devant cette urgence sanitaire mondiale, un certain nombre de moyens humains sont sollicités et œuvrent au quotidien à la continuité de l’État.
Particulièrement exposés, les personnels de « première ligne » (professionnels de santé, forces de l’ordre…) font face à une recrudescence d’actes de malveillance et d’intimidation, notamment par l’apposition sur les pare‑brise de leurs véhicules personnels de mots les invitants à déménager ou ne pas se garer à proximité des autres véhicules du voisinage.
En cette période d’anxiété collective, devant une maladie pour l’heure sans traitement médical autre que symptomatique et au‑delà de la difficulté quotidienne pour ces professionnels de faire front tout en ayant des situations de famille particulière, il n’est pas admissible pour eux de devoir affronter une charge émotionnelle su...
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