de travailleurs étrangers non communautaires pour lesquels l’absence de réponse dans un délai de deux mois suivant le dépôt de la demande complète d’autorisation de travail vaut rejet implicite ([10]). Si la demande d’autorisation de travail présentée par un demandeur d’asile est acceptée, l’employeur devra acquitter une taxe spécifique (dite « taxe employeur ») auprès de l’OFII ([11]). Les modalités d’application de l’article L744-11 du CESEDA n’ont pas fait l’objet d’une instruction ou d’une circulaire ([12]). Le site servicepublic.fr apporte cependant certains compléments et précise que la demande d’autorisation de travail doit être introduite avant que l’OFPRA ne se prononce sur la demande d’asile ([13]). Ainsi, selon ce site, « un demandeur d’asile qui a obtenu le droit de travailler avant une éventuelle décision de rejet de sa demande d’asile par l’OFPRA, conserve son droit à travailler en cas de recours devant la C...
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