Mesdames, Messieurs, Les récents propos choquants de Claire Hédon, Défenseur des droits en exercice, ont remis cette fonction au centre de débats et ont permis de l’interroger sur plusieurs aspects tels que sa légitimité, son efficacité, son utilité, sa rentabilité, et son affiliation idéologique.
Surnommée depuis peu, « défenseur des non‑droits », le successeur de Jacques Toubon a illustré une forme de complaisance irresponsable avec la délinquance qui, pour ce poste, ne date pas d’aujourd’hui.
Choisir de défendre les délinquants et sciemment omettre de défendre les droits des policiers est une faute déontologique et professionnelle.
La déontologie n’a jamais été le point fort de cette fonction puisque le cumul d’un salaire et d’une retraite, en son temps, par M. Jacques Toubon ne semblait pas poser problème ce dernier ayant affirmé « ne pas comprendre » la polémique sur ses revenus.
C’est pourtant bien à cette fonction qu’il incombe...
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