cosignée par Delphine Bagarry, Bertrand Bouyx, Guy Bricout, Annie Chapelier, Jean-Pierre Cubertafon, Yves Daniel, Frédérique Dumas, M'jid El Guerrab, Albane Gaillot, Yves Hemedinger, Antoine Herth, Caroline Janvier, Lise Magnier, Jacques Maire, Benoit Potterie, Jean-Luc Reitzer, Cédric Roussel, Maina Sage, Benoit Simian, Aurélien Taché & Stéphane Viry
Mesdames, Messieurs, « Aujourd’hui, trop de Français sont malades de leur relation à l’administration. » Écouter des Français en colère, stressés, épuisés voire déprimés après des mois parfois des années de « combat » pour être considérés ou simplement pris en compte par l’administration : c’est le quotidien de tout élu de la République.
Car, s’il est un sujet pour lequel les Français s’en remettent à nous et nous appellent à l’aide, c’est bien pour les sortir/sauver de relations labyrinthiques ou absurdes avec l’administration française dans l’espoir de reprendre enfin le fil de leur vie… libres ([1]). Souvent, le problème rencontré par nos concitoyens se résume à un seul, implacable, ils « n’entrent pas dans les cases prévues » par l’administration.
La « faute » à des parcours de vie qui ressemblent à la vie elle‑même : avec des hauts et des bas personnels, des changements ou des originalités de statuts prof...
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