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... il convient de le répéter. Or 89 % d'entre eux ne mentionnaient pas la création d'un statut spécifique comme une piste concrète d'amélioration, et 97 % ne disaient pas avoir besoin de davantage d'autonomie ni vouloir prendre des décisions sans l'aval de leur supérieur hiérarchique direct. Le Gouvernement a-t-il pris en compte leurs réelles demandes en aides humaines pour accroître leur temps de décharge et alléger leurs tâches ? Comment élaborer des lois sans prendre en compte les réels problèmes de l'éducation nationale et des personnes y travaillant ? À travers les chiffres cités, vous voyez vous-même que chacun est attaché au modèle actuel et qu'il y a besoin, non de nouveaux chefs, mais de moyens pour mieux fonctionner. L'école n'est pas une entreprise et ne pourra jamais fonctionner comme ...
..., n'évoquent pas la création d'un statut comme une piste concrète d'amélioration. Vous vouliez savoir quelles étaient nos sources ? Les voilà ! Ces données sont d'ailleurs corroborées par les syndicats. Ceux qui en doutent auraient pu aller les voir devant l'Assemblée nationale à treize heures, comme ils y étaient invités. En revanche, les directeurs demandent des aides humaines, plus de temps de décharge et un allégement de leurs tâches, autant de choses que le Gouvernement et la majorité présidentielle refusent de leur accorder. Enfin, les compétences déléguées aux directrices et aux directeurs ne sont pas mentionnées dans cet article. Les contours de cette autorité fonctionnelle ne sont pas non plus définis. Comment accepter d'insérer dans le code de l'éducation des termes aussi flous ? L'éco...