Interventions sur "degré"

11 interventions trouvées.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaCatherine Osson, rapporteure spéciale de la commission des finances, de l'économie générale et du contrôle budgétaire :

... le plafonnement à vingt-quatre du nombre d'élèves dans les classes de CP et CE1 ; nous l'amplifierons. Nous poursuivrons le dédoublement des classes dans les zones REP – réseau d'éducation prioritaire – et REP+ ; surtout, nous l'étendrons aux grandes sections de maternelle en zone d'éducation prioritaire. Pour tout cela, ce budget prévoit la création de pas moins de 2 000 emplois dans le premier degré. Il y a la volonté, il y a l'ambition, il y a aussi et surtout le pragmatisme et la réalité des moyens, car l'école ne saurait souffrir de discours politiciens. Seuls les actes comptent, et nous sommes au rendez-vous de ces actes.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaCatherine Osson, rapporteure spéciale de la commission des finances, de l'économie générale et du contrôle budgétaire :

Ce budget consacre aussi l'augmentation des moyens d'enseignement et la création de places supplémentaires dans le second degré – l'équivalent de 1 000 postes d'enseignement supplémentaires, qui permettront l'augmentation des places en BTS, l'année prochaine encore, et le maintien des efforts déployés pour offrir des parcours « CAP trois ans » à une partie des élèves qui suivaient déjà cette formation au début de la crise sanitaire. L'école d'aujourd'hui – et a fortiori celle de demain – est inclusive. En 2021, nous augm...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaOlivier Falorni :

...tions salariales. Alors que les enseignants français figurent parmi les moins bien payés d'Europe, il est effectivement plus qu'urgent de rattraper notre retard, même si les modalités de mise en oeuvre de cette annonce restent à déterminer. En définitive, le budget pour 2021 s'inscrit dans la continuité des réformes engagées depuis le début du quinquennat, avec une priorité placée sur le premier degré, un renforcement de l'école inclusive et une attention particulière portée à l'éducation prioritaire. Sur tous ces aspects, nous reconnaissons des améliorations. Je pense par exemple aux bienfaits du plafonnement à vingt-quatre du nombre d'élèves par classe en grande section de maternelle, en CP et en CE1, ainsi qu'au dédoublement des classes dans les REP et REP+. Nous ne pouvons cependant pas n...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaSabine Rubin :

...vés de ces personnels spécialisés des RASED, les réseaux d'aides spécialisées aux élèves en difficulté ? En résumé, déshabiller Pierre pour habiller Paul, voilà le fin mot de votre politique, qui s'exerce notamment au détriment du secondaire : alors que plus de 23 000 élèves supplémentaires sont attendus sur les bancs des collègues et lycées, on compte près de 1 800 postes en moins dans le second degré – sans parler des purges des années précédentes. Vous palliez certes ce déficit chronique d'encadrement par le recours tous azimuts aux heures supplémentaires obligatoires – jusqu'à 2 500 équivalents temps plein cette année. Rappelons pourtant qu'en 2013, ces professeurs, dont certains ont dit qu'ils étaient décrocheurs, travaillaient déjà en moyenne près de quarante et une heures par semaine. A...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaStéphane Testé :

...sse, nous nous donnons les moyens de construire les contours d'une société plus égalitaire où chacun dispose des mêmes droits et des mêmes chances de réussite ; nous redonnons espoir en notre pacte républicain. Les différents budgets de l'enseignement scolaire votés depuis 2017 témoignent de cette ambition. Je pense à la priorité donnée à l'école primaire, aux créations de postes dans le premier degré, au versement d'une prime aux enseignants qui exercent en REP et REP+, à la scolarisation obligatoire des enfants dès 3 ans ou encore au dédoublement des classes dans les REP et REP+. Le budget pour 2021 ne déroge pas à la règle. Avec une hausse de 3 % des crédits de la mission « Enseignement scolaire », il amplifie encore l'action de notre majorité en faveur de l'éducation, réaffirmant notammen...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaMaud Petit :

.... Je rappelle l'adoption, en 2019, de la loi pour une école de la confiance, qui comportait quatre mesures phares : l'instruction obligatoire dès 3 ans, l'obligation de formation jusqu'à 18 ans, le pré-recrutement des enseignants et la création d'un service public de l'école inclusive. À ces mesures s'ajoute, dans le cadre du budget pour 2021, la création de plus de 2 000 emplois dans le premier degré, une augmentation des moyens humains qui facilitera le plafonnement des classes et l'extension du dispositif de dédoublement des classes aux grandes sections de maternelle dans les réseaux d'éducation prioritaire et qui protégera les écoles rurales du risque de fermeture. Il faut aussi rappeler les nombreuses mesures en faveur de l'inclusion des élèves en situation de handicap mises en oeuvre de...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaSylvie Tolmont :

Mais si, monsieur le ministre, c'est sûr ! Aussi, vous l'aurez compris, ce budget est marqué d'un volontarisme de façade qui traduit, en vérité, plutôt une forme d'immobilisme qui ne répond pas aux défis et à l'urgence que l'éducation nationale doit surmonter dans ce contexte. Tout d'abord, nous nous opposons à la poursuite du déséquilibre de traitement que vous opérez entre le premier degré et le second degré. Notons que la création de 2 000 postes dans le premier degré est entièrement gagée par la poursuite des priorités annoncées par le Gouvernement telles que le dédoublement des classes, le plafonnement à vingt-quatre élèves ainsi que la promesse de ne fermer aucune école rurale. Dès lors, les marges de manoeuvre sur les autres classes sont quasi inexistantes. La disparition du d...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaPierre-Yves Bournazel :

... toute sa part. C'est dans ce contexte difficile et douloureux que l'examen des crédits de la mission « Enseignement scolaire » revêt une importance toute particulière. Le groupe Agir ensemble salue la hausse de ces crédits, qui atteignent 53,6 milliards d'euros en 2021. Premier budget de l'État, cette mission poursuit plusieurs priorités fondamentales. La priorité est d'abord donnée au premier degré car c'est l'âge où tout se joue : en 2021, il y aura 2 000 emplois supplémentaires, et le processus de dédoublement des classes dans les réseaux d'éducation prioritaire se poursuivra. Comme élu du 18e arrondissement de Paris, particulièrement concerné, je peux témoigner de la réussite de cette politique. Autre priorité : la poursuite de la mise en oeuvre de l'école inclusive, avec notamment 4 00...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaAgnès Thill :

...ire et compter à la sortie de l'école primaire. À ceux qui en douteraient encore aujourd'hui, il faut rappeler que l'école de la République est, pour chaque élève, le meilleur moyen de s'émanciper et d'apprendre à devenir un citoyen libre. Ainsi, les crédits de la mission « Enseignement scolaire » pour 2021 témoignent de l'ambition du Gouvernement de mettre l'accent sur l'enseignement du premier degré. Le groupe UDI et indépendants se réjouit de la création de 2 000 postes supplémentaires ainsi que de la revalorisation de quelque 400 millions d'euros prévus pour les enseignants. Je souhaite insister tout particulièrement sur les rémunérations, point qui sera, je l'espère, central dans le Grenelle de l'éducation que nous entamons. Les récents événements ont montré que le métier de professeur r...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaJacqueline Dubois :

...ent et de gestion des deux types de contrats qui les régissent : les contrats relevant du titre 2 ou hors-titre 2. Les AEHS recrutés sur ce second type de contrat ne bénéficient pas d'indemnisation des frais de déplacement. Les disparités entre les deux contrats posent des difficultés de gestion pour le recrutement et pour la bonne organisation des pôles inclusifs d'accompagnement localisés inter-degrés. Monsieur le ministre, vous semble-t-il possible de simplifier cette situation, sachant qu'au bout de six ans, les contrats des AESH deviennent tous des CDI du titre 2 ? Il faut ensuite évoquer la question du temps de travail des AESH, contraints d'exercer à temps partiel, parfois moins de 20 heures, souvent 24 heures, plus rarement 30 heures par semaine. En primaire, en raison de la durée des...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaMichèle Victory :

Dans le second degré, jusqu'en 2023, il y aura une augmentation des effectifs, comme dans les lycées professionnels à la prochaine rentrée. Au total, 520 433 élèves sont attendus en LEP – lycées d'enseignement professionnel. Dans le même temps, nous assistons à une baisse d'environ 700 postes d'enseignement en LEP, dans un contexte déjà fortement marqué par l'utilisation des heures supplémentaires et par le recours a...