Interventions sur "vélo"

17 interventions trouvées.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaChantal Jourdan :

Cet amendement du groupe Socialistes et apparentés vise à créer une ligne nouvelle permettant d'allouer 10 000 euros à l'apprentissage de la mobilité à vélo à l'école. L'article L. 312-13-2 du code de l'éducation, créé par la loi d'orientation des mobilités, dite LOM, dispose que « l'apprentissage de l'usage du déplacement à vélo en sécurité a pour objectif de permettre à chaque élève de maîtriser, à son entrée dans les établissements du second degré, la pratique autonome et sécurisée du vélo dans l'espace public ». L'inscription de ce « savoir rou...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaAude Luquet, rapporteure pour avis de la commission du développement durable et de l'aménagement du territoire :

Cet amendement de notre collègue Philippe Vigier soutenu par le groupe Mouvement démocrate MoDem et démocrates apparentés vise, comme l'amendement précédent, et conformément à la LOM, à sensibiliser les plus jeunes à la sécurité routière à vélo, dans les établissements scolaires notamment, afin d'éviter les difficultés que peuvent rencontrer nos enfants lorsqu'ils roulent à vélo.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaZivka Park, rapporteure spéciale de la commission des finances, de l'économie générale et du contrôle budgétaire :

Vous avez raison de rappeler que l'article 57 de la loi d'orientation des mobilités prévoit de développer l'apprentissage du vélo dans le cadre scolaire, périscolaire ou extrascolaire. Conformément aux dispositions que nous avons adoptées il y a un an, la mise en oeuvre de ce programme « Savoir rouler à l'école » est organisée par les communes. Je crois que le Gouvernement pourra vous apporter les détails nécessaires sur le financement de ces mesures. Je suppose qu'il s'agit d'amendements d'appel, car je ne vois pas trop c...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaDamien Pichereau, rapporteur pour avis de la commission du développement durable et de l'aménagement du territoire :

...'ont pas les moyens de les entretenir, cela contribue à augmenter la pollution et la consommation de carburant ainsi que l'insécurité routière. Nous proposons donc de créer ce chèque entretien-réparation responsable, qui permettrait aux ménages les plus modestes d'entretenir leur véhicule. Le montant de ce chèque serait déterminé par décret, comme on a pu le faire avec le programme coup de pouce vélo.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaBenoit Simian, rapporteur spécial de la commission des finances, de l'économie générale et du contrôle budgétaire :

...que je n'ai pas pu formaliser cet engagement pour des raisons informatiques – je le dis sous le contrôle de Laurianne Rossi, présidente du Conseil national du bruit et qui, comme nous, est très attachée à ces sujets. Le rapporteur général du budget lui-même, Laurent Saint-Martin, a cosigné cet amendement. Nous parlons d'un seul ETP. On s'étend parfois longuement, ici, sur les trottinettes et les vélos, ; alors que ces débats devraient plutôt avoir lieu à Paris… L'amendement concerne tout de même l'Autorité de contrôle des nuisances aéroportuaires. On parle d'un seul ETP, de 121 000 euros ! Notre collègue Zivka Park a mené un excellent travail sur ce sujet, et vous la renvoyez dans ses vingt-deux, dans sa circonscription : tout de même, monsieur le ministre délégué, faites un effort !

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaGérard Leseul :

Pour atteindre nos objectifs en matière de climat et lutter efficacement contre la pollution atmosphérique, nous devons favoriser des solutions de mobilité alternatives à la voiture individuelle. C'est pourquoi nous proposons d'élargir les champs d'utilisation de la prime à la conversion à d'autres solutions de mobilité : achat d'un vélo à assistance électrique – VAE – , d'un vélo cargo ou d'un vélo pliant, abonnement aux transports en commun ou à un service d'autopartage ou de covoiturage. De tels dispositifs existent déjà, notamment depuis 2006 dans la région de Bruxelles-Capitale avec le dispositif Bruxell'Air. Cette proposition, qui a déjà été expérimentée, permettrait de développer efficacement des mobilités alternatives.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaGuillaume Gouffier-Cha :

Je vous propose de passer de la prime à la conversion à la prime à la mobilité durable. La prime à la conversion actuelle favorise en effet l'achat de véhicules individuels moins polluants. L'objet de cet amendement est d'élargir les champs d'utilisation de la prime à la conversion aux autres solutions de mobilité vertueuse : achat d'un vélo, d'un vélo cargo ou d'un vélo à assistance électrique, ou bien abonnement aux transports en commun ou à un service de type autopartage ou covoiturage. Cette prime aurait pour support le titre mobilité prévu par la loi d'orientation des mobilités et bénéficierait ainsi aux entreprises françaises impliquées dans les mobilité durables.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaJulien Aubert, rapporteur spécial de la commission des finances, de l'économie générale et du contrôle budgétaire :

...s quasiment identiques, même si le no 3027 est légèrement différent puisqu'il propose un programme baptisé « Accompagnement à la mobilité durable » au lieu de « Prime à la mobilité durable ». Vous proposez donc, chers collègues, de créer un nouveau programme appelé à diversifier l'usage de la prime à la conversion pour inciter les automobilistes à abandonner leur voiture pour acheter ou louer un vélo, éventuellement à assistance électrique ou cargo, ou bien à utiliser le covoiturage. Il ne manque plus que les trottinettes électriques, les poussettes et les tricycles ! Un amendement identique a été rejeté en commission. J'émettrai un avis défavorable pour une raison essentielle : une telle mesure modifierait l'essence de la prime à la conversion et, surtout, privilégierait une écologie des vi...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaGuillaume Gouffier-Cha :

Il vise à rendre plus justes les conditions d'attribution du bonus alloué à l'achat d'un vélo à assistance électrique. Ce bonus de l'État est en effet injuste car limité aux territoires dans lesquels une aide spécifique des collectivités existe déjà, c'est-à-dire rarement les zones périurbaines et rurales. En outre, les conditions de ressources pour y accéder sont très restrictives. Au total, la somme de ces critères est très limitative. L'amendement tend donc à modifier les critères d'é...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaJulien Aubert, rapporteur spécial de la commission des finances, de l'économie générale et du contrôle budgétaire :

Cet amendement n'ayant pas été examiné par la commission, c'est à titre personnel que je me prononcerai. Vous proposez de créer un nouveau programme intitulé « Aide à l'achat vélo à assistance électrique » en prélevant des crédits sur le programme « Service public de l'énergie » et d'accélérer le développement du VAE en levant la conditionnalité aujourd'hui associée à ce dispositif. Pour pouvoir bénéficier de l'aide, il faut en effet avoir un revenu fiscal de référence inférieur ou égal à 13 489 euros et bénéficier d'une aide équivalente versée par une collectivité territo...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaLoïc Prud'homme :

Je voudrais vous parler de vélo, plus précisément du fonds Vélo. C'est un député qui, chaque semaine depuis trois ans, se rend à vélo à l'Assemblée qui s'exprime…

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaLoïc Prud'homme :

...e échelle, ce qui ne saurait se faire sans une aide de l'État en faveur des infrastructures cyclables. L'espace public doit être adapté aux nouvelles formes de mobilité – je peux vous assurer que ce n'est pas encore le cas. Aujourd'hui, la route n'est adaptée qu'aux voitures, alors que 60 % des déplacements portent sur des distances inférieures à cinq kilomètres – soit une vingtaine de minutes de vélo pour un cycliste peu chevronné, ce qui est tout à fait accessible. Le Gouvernement entend multiplier par trois la part modale du vélo dans les trajets quotidiens des Français pour la porter de 2,7 % à 9 % en 2024 et, pour ce faire, il a mis au point un plan Vélo reposant sur un fonds doté de 350 millions d'euros sur sept ans, soit 50 millions d'euros par an. Or, selon le RAC – Réseau action clim...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaGérard Leseul :

Je n'ai pas vraiment saisi combien de passages à niveau seraient réalisés en 2021 ; j'invite donc tous les cyclistes à faire attention. L'amendement n° 2260 du groupe Socialistes et apparentés vise comme le précédent – que je soutiens – à accroître de 350 millions d'euros les moyens alloués au plan Vélo pour 2021. La tendance actuelle des investissements est insuffisante ; pour atteindre l'objectif du Gouvernement consistant à porter à 9 % la part modale du vélo, il faut décupler l'effort d'investissement jusqu'à atteindre 70 euros par an et par habitant. Nos voisins européens consacrent des moyens bien supérieurs au développement du vélo.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaBertrand Pancher :

Cet amendement vous est présenté par un député qui ne se rend pas à l'Assemblée nationale à vélo et pour cause : sa circonscription se trouve à 220 kilomètres de Paris ! La suppression de trains par la SNCF et la circulation embouteillée dans Paris, cependant, me contraindront peut-être à le faire… En revanche, je me rends chaque jour en vélo à ma permanence à Bar-le-Duc. L'amendement vise à augmenter les moyens destinés à la construction de pistes cyclables afin d'atteindre vos objectifs q...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaZivka Park, rapporteure spéciale de la commission des finances, de l'économie générale et du contrôle budgétaire :

Vous rappelez tous à juste titre que le plan Vélo de 2018 prévoit de tripler la part modale du vélo en la portant de 2,7 % – un faible pourcentage – à 9 % ; l'objectif n'est pas faramineux mais tout de même important. Pour ce faire, un fonds Vélo a été doté de 350 millions d'euros sur sept ans, soit 50 millions d'euros par an. Lors de son audition par la commission à la mi-octobre, la DGITM – direction générale des infrastructures, des transpor...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaZivka Park, rapporteure spéciale de la commission des finances, de l'économie générale et du contrôle budgétaire :

Je vous rappelle que le plan de relance prévoit 200 millions d'euros supplémentaires en faveur du vélo, qui permettront de cofinancer des projets décidés en lien avec les collectivités territoriales – un enjeu important – afin d'aménager et de sécuriser les pistes cyclables, de développer la continuité du réseau – objectif essentiel – et de favoriser l'intermodalité, en reliant notamment les pistes cyclables aux gares routières. Je ne reviens pas sur les dispositions que nous avons adoptées tous ...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaLoïc Prud'homme :

Je ne viens donc pas seulement à vélo ! Il faut améliorer l'intermodalité, notamment le rangement de vélos pliants dans les TGV. Le budget de 350 millions que nous présente le ministre délégué, c'est-à-dire 50 millions par an, est très en deçà de l'augmentation significative que nous proposons qui permet de doter le fonds vélo de 500 millions par an. J'ai été très critique – et je le suis toujours – concernant les mesures prises pen...