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...nnes associations qui font la fierté de mon département, la Haute-Saône. Les crédits du FDVA non utilisés par manque de projets pourront-ils être conservés au niveau départemental pour l'année prochaine ? Par ailleurs, pouvez-vous retracer l'action menée par le Gouvernement depuis le début de l'année 2020 en faveur des associations ? Êtes-vous en mesure de rassurer les millions d'adhérents et de bénévoles sur les engagements de l'État en faveur du monde associatif pour les mois à venir ?
...t deux types d'associations : celles qui emploient des salariés et qu'on trouve dans les EHPAD, les structures d'aide à domicile, les clubs sportifs départementaux, ainsi que dans le secteur caritatif ou culturel ; celles sans salariés, qu'on rencontre dans les petits villages : les comités des fêtes, le club des aînés, le club des loisirs… Mais les premières comme les secondes s'appuient sur des bénévoles, sans qui rien ne serait possible. J'évoquerai ces deux types d'associations et leurs problèmes en sortant un peu du contexte de la covid. Dans les premières, comment pourrions-nous valoriser les bénévoles et leur apporter une reconnaissance ? Je pense, dans mon département du Tarn, aux bénévoles de la MARPA – maison d'accueil et de résidence pour personnes âgées – de Valderiès, à sa présidente...
Qu'en est-il donc aujourd'hui ? Les secondes associations sont souvent celles qui n'ont pas pu mener leur activité, du fait de la covid-19. Actuellement, les maires craignent que, faute de motivation, les bénévoles cessent de venir sur le devant de la scène. Comment peut-on les aider à remotiver les bénévoles, ce qui redonnera à nos villages un semblant de vie normale, en leur rendant toutes les festivités qu'on pouvait y rencontrer ? En somme, il y a deux types d'associations, deux types de problèmes et deux questions toutes simples, auxquelles, j'en suis consciente, il n'est pas facile de répondre.
Depuis le début de la crise sanitaire, le secteur associatif est mis à rude épreuve. Les différentes mesures prises par le Gouvernement pour tenter d'enrayer l'épidémie de covid-19 ont en effet lourdement pesé sur les associations et leurs bénévoles. Rendons-nous compte : en France, près de 30 000 associations sont directement menacées de disparition, alors qu'un tiers des Français était engagé dans la vie associative. Pourtant, nous n'avons jamais eu autant besoin d'elles dans nos territoires. En effet, la crise sanitaire a fait basculer sous le seuil de pauvreté plus d'un million de nos compatriotes. Les associations sont plus nécessaires...
...toutes les deux. Depuis plus d'un an désormais, l'ensemble du monde culturel est sévèrement touché par les répercussions de la crise : audiovisuel, livres, musique, spectacle vivant… Cela se traduit concrètement pour les associations par des baisses de recettes d'activité, une diminution notable du nombre de créations, le tassement des adhésions et des difficultés accrues en matière d'engagement bénévole. C'est dramatique, surtout lorsque l'on sait le rôle joué par certaines d'entre elles dans le maintien des solidarités en direction des plus démunis. Une action publique forte est déjà engagée et elle sera nécessaire dans les mois prochains pour inverser cette spirale dévastatrice. Je me désole de voir le conseil régional de Nouvelle-Aquitaine diminuer le budget consacré à la vie associative de ...
... sont ainsi mises à confectionner des masques et des visières ou à organiser le portage de courses et de repas aux personnes vulnérables et au personnel soignant. Nous leur devons beaucoup et je veux leur témoigner toute notre reconnaissance. Nous pouvons nous réjouir de la vitalité de notre tissu associatif : les 1,5 million d'associations qui maillent notre territoire mobilisent 13 millions de bénévoles et emploient 1,8 million de salariés. Elles rythment la vie quotidienne d'un grand nombre de nos communes et cimentent notre société. Ce sont nos clubs sportifs, nos comités des fêtes, nos associations culturelles, nos organisations caritatives. Il faut, bien entendu, saluer l'action de ces millions de bénévoles qui, chaque jour, donnent de leur temps au service des autres. Si la crise a révélé...
...alité, c'est la question de l'engagement des générations actives dans leur ensemble qui est posée. Celles-ci profitent parfois de l'action des associations sans donner en retour ce que pouvaient donner les générations précédentes. Ma question est donc la suivante : au-delà des différents plans et du service national universel, que pourrait faire le Gouvernement pour susciter l'engagement citoyen bénévole, y compris chez les actifs âgés de 25 à 50 ou 60 ans ?
Je souhaite remercier vivement l'ensemble des bénévoles et des responsables associatifs de notre pays, qui s'engagent au bénéfice du plus grand nombre avec un sens de l'abnégation et du dévouement qu'il convient de saluer. Nous le savons tous, la crise démontre un besoin de relations sociales, d'engagement, de participation. Nombre de nos concitoyens se retrouvent seuls et je pense que nous sortirons de la crise beaucoup plus forts, justement parce ...
...associations et les quelque 21 millions de Français qui se déclarent engagés dans le monde associatif, secteur qui représente entre 9 et 10 % de l'emploi dans le privé. Une grande majorité des Français sont attachés aux associations, créatrices de lien social et de solidarité. La crise sanitaire que nous traversons en fournit une nouvelle preuve. Lors des confinements, les associations, agissant bénévolement, n'étaient pas à court d'idées pour aider les personnes isolées et perdues. Elles ont livré à domicile des paniers de produits frais, des courses, des colis alimentaires ou des médicaments. Elles ont soutenu les plus vulnérables, distribué des repas, ou encore apporté un soutien psychologique. Les associations ont été et demeurent au front, mais pour quelle reconnaissance du Gouvernement ? B...