2 interventions trouvées.
...0, un cheval est passé sous terre à cause d'un effondrement de mine. Le cavalier a pu s'extirper, mais le cheval est décédé au bout de deux jours. L'État refuse d'assumer ses responsabilités, laissant le propriétaire du terrain seul face à la gestion d'un sol qui est un véritable gruyère, caractéristique absente des documents officiels, notamment ceux du BRGM – bureau de recherches géologiques et minières. Il faut que l'État soit présent. Même si cette mine est vieille de plus de trois siècles, les conséquences sont actuelles : un cheval est mort, son cavalier, qui est un ami, ayant heureusement réussi à sauter à temps. N'oublions pas les difficultés face auxquelles se retrouvent nombre de personnes après des découvertes impromptues, des décennies après la fin de l'exploitation – en l'occurrence...
...ciser que l'exploitant ou l'explorateur doit toujours, autant qu'il lui est possible, collaborer avec l'État, même après la fermeture des mines, en particulier pour référencer l'emplacement, l'état et la taille des mines et de tout ce qui est connexe. Dans ma circonscription, il y a beaucoup de ruisseaux couverts, dont l'emplacement est mal connu. Ils ont été créés dans le cadre de l'exploitation minière, mais ne font pas réellement partie des houillères des bassins des Cévennes ; par conséquent, ils n'ont pas été référencés. Nous sommes démunis face aux effondrements, qui n'ont entraîné aucun décès, mais qui ont causé d'importants dommages. Nous avons également des terrils enfouis et des crassiers qui prennent feu. L'histoire des mines dans les Cévennes est vieille de deux siècles. Depuis la nat...