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Nous entamons la discussion du titre Ier de ce projet de loi, consacré aux « dispositions permettant le respect des stipulations du contrat de ville hôte » conclu par la Ville de Paris, le Comité national olympique et sportif français et le CIO. Avec l'article 1er, les organisateurs des Jeux olympiques et paralympiques, à savoir le CIO, le CIP et le COJO, n'auront pas à demander l'aval des fédérations sportives. Je souhaite que les organisateurs, la mairie de Paris, la région Île-de-France, la présidence de la République, le Gouvernement et les différents partis politiques soient capables de travailler ensemble pour faire honneur à la devise de Pierre de Coubertin : « Plus vite, plus haut, plus fort ». N'oubli...
Je voudrais dire, tout d'abord, que le professeur d'éducation physique et sportive que je suis est fou de joie à l'idée de recevoir les plus grands athlètes de la planète en 2024. Ce projet de loi relatif à l'organisation des Jeux olympiques et paralympiques est nécessaire : que le CIO, le CIP et le COJO en soient les organisateurs me semble intéressant. Dans sept ans, lorsque le monde entier nous regardera, il ne regardera pas seulement la qualité des installations ni même les performances des sportifs, il regardera la France tout entière. Comme le rappelait tout à l'heure M. le secrétaire d'État, sept années, pour organiser matériellement les Jeux...
Ce projet de loi est l'occasion d'exprimer notre grande fierté – partagée, je le crois, sur tous les bancs de cet hémicycle – d'organiser les Jeux olympiques et paralympiques à Paris en 2024. Bien sûr, tout reste à faire, et le défi de la gouvernance n'est pas le moindre de ceux qui se présentent à nous. Cet article confère la qualité de co-organisateur des Jeux de Paris 2024 au futur COJO, une association de droit privé dont le budget dépassera les 3 millions d'euros, et qui sera la vitrine des Jeux. Nous connaissons les engagements pris dans le cadre de ce projet d...
Avis défavorable. Contrairement à ce que vous avez dit, l'objectif de cet article n'est pas de rompre le lien entre les différents niveaux de professionnalisation du sport, mais de simplifier l'organisation des Jeux olympiques et paralympiques en permettant aux trois co-organisateurs de se répartir les tâches d'organisation des Jeux et les recettes liées à leur retransmission.