Interventions sur "médicale"

7 interventions trouvées.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaHuguette Bello :

Cet amendement procède d'une double source. La première est le rapport de la Cour des comptes de 2017 sur le rôle des CHU dans l'enseignement supérieur et la recherche médicale, qui met en lumière les grandes disparités qui existent dans la répartition des personnels hospitalo-universitaires entre les CHU et précise que ces disparités ne font pas l'objet d'actions correctrices fortes de la part des pouvoirs publics. La deuxième source est la situation qui prévaut au CHU de La Réunion, plus jeune CHU de France, créé en 2012, et qui, en dépit de ses faibles effectifs d'e...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaMarie Tamarelle-Verhaeghe :

Cet amendement a pour objet d'étendre aux professions paramédicales le décloisonnement professionnel entre privé et public que le projet de loi prévoit pour les médecins. Certaines professions telles que la rééducation et la kinésithérapie sont en très forte tension dans les établissements publics. Cet amendement vise donc à leur permettre de proposer des postes de fonctionnaires à temps non complet afin que des kinésithérapeutes exerçant en milieu libéral puis...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaOlivier Véran :

Quand un PU-PH atteint l'âge de la retraite, il peut demander une prolongation de son activité pour un, deux ou trois ans ; c'est ce que l'on appelle le consultanat. L'autorisation est accordée par la commission médicale d'établissement, qui peut tenir compte de certains critères pour la délivrer. Le présent amendement vise à exiger d'un professeur d'université à qui l'on a accordé une période de consultanat – il s'agit généralement de médecins capés, souvent de grands noms de la médecine – qu'il effectue une partie de son activité dans un hôpital non universitaire, qui peut être un hôpital de proximité ou un hô...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaAlain Bruneel :

Le code de la santé publique prévoit actuellement qu'il peut être interdit aux praticiens hospitaliers démissionnaires d'ouvrir un cabinet privé ou d'exercer une activité rémunérée dans un établissement de santé privé à but lucratif, un laboratoire privé d'examens de biologie médicale ou une officine de pharmacie où ils pourraient entrer en concurrence directe avec leur ancien employeur. Afin de limiter la concurrence entre le secteur public et le secteur libéral, nous proposons, à travers cet amendement, d'étendre le champ de cette clause de non-concurrence.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaCyrille Isaac-Sibille :

En votant l'article 6, nous avons adopté le principe de l'exercice mixte pour les médecins. J'avais proposé en commission un amendement ouvrant la même faculté aux professions paramédicales, notamment aux masseurs-kinésithérapeutes, qui font cruellement défaut à l'hôpital, ce qui est dommageable tant pour les malades que pour les établissements puisque cela se traduit par l'allongement de la durée des séjours. C'est également dommageable pour les kinésithérapeutes, insuffisamment rémunérés. Je remercie Mme la ministre de nous avoir donné la possibilité de retravailler cet amendeme...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaJulien Aubert :

...ionnel, qui a le pouvoir de modifier la loi, à 73 ans et on serait incapable au même âge d'apporter une plus-value dans le domaine médical ? Plutôt qu'une approche par l'âge, on ferait mieux de confier à l'autoévaluation et l'évaluation par les pairs le soin de déterminer qui est encore en état d'exercer. Cela permettrait de répondre au défi auquel nous sommes confrontés en matière de démographie médicale.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaGilles Lurton :

...e que notre collègue Julien Aubert vient d'exprimer. J'ai d'ailleurs à côté de moi, avec M. Door, l'exemple éclatant d'un médecin tout à fait à même de conseiller ses collègues quand ils en ont besoin. On pourrait sous-amender cet amendement afin de maintenir la limite d'âge à 72 ans s'agissant des actes chirurgicaux. Je pense en revanche qu'il ne pose pas de problème pour les autres disciplines médicales.