Interventions sur "bénéficiaire"

3 interventions trouvées.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaVéronique Louwagie, rapporteure spéciale de la commission des finances, de l'économie générale et du contrôle budgétaire :

...ers thèmes, appeler l'attention sur les importants besoins qui se font sentir en matière de prévention. En ce qui concerne le programme 183, les crédits demandés s'élèvent à 932 millions d'euros. Concrètement, 109 millions d'euros sont ajoutés à l'AME de droit commun par rapport à la loi de finances initiale pour 2017. Cette augmentation n'est d'ailleurs pas corrélée à la diminution du nombre de bénéficiaires de l'AME enregistrée depuis le dernier trimestre 2016. Pourtant, madame la ministre, vous nous avez indiqué en commission élargie que le niveau des crédits pour 2018 se fondait sur le tendanciel des années précédentes. On peut donc être surpris de cette situation. Par ailleurs, à ce jour, aucune explication n'a pu être donnée de cette diminution des bénéficiaires de l'AME, une évolution contre-i...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaJean-Louis Touraine :

...té et creuser les déficits ? Bien sûr que non. De plus, différer ces soins n'aboutirait qu'à les rendre plus onéreux, du fait de la progression et de l'aggravation de la maladie. Cela ne signifie pas qu'il serait superflu de contrôler cette dépense, comme les autres dépenses de santé. La fluctuation de son montant, dans les années écoulées, a surtout été en relation avec la variation du nombre de bénéficiaires. Je termine en saluant l'effort déployé en faveur des victimes de la Dépakine. L'indemnisation, gérée par l'ONIAM, deviendra plus simple et plus rapide, tandis que l'État en obtiendra le remboursement par le laboratoire en cause. Au total, le groupe La République en marche votera donc les crédits de cette mission.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaJulien Aubert :

Vous avez tenu des propos approximatifs, préférant dépeindre les bénéficiaires de l'AME comme des ultra-pauvres contagieux. Comme votre prédécesseur Marisol Touraine, avec les mêmes arguments, vous avez fermé sèchement la porte à tout débat. Rouvrons donc le débat, en évitant Germinal. Premièrement, pour fermer la porte à un « droit de timbre », vous invoquez um rapport de l'Inspection générale des affaires sociales – IGAS – et de l'Inspection générale des finances – IGF ...