Interventions sur "scientifique"

8 interventions trouvées.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaBéatrice Descamps :

...caliser plus particulièrement sur les causes du cancer. Le tabagisme, l'alcool et la sédentarité représentent les facteurs de risque les plus connus. Cependant, des recherches complémentaires mériteraient d'être menées sur les facteurs environnementaux ou la qualité de l'air, pour ne citer que ces exemples. Le présent amendement vise donc à attribuer 1 million d'euros à l'action 15 « Recherches scientifiques et technologiques en sciences de la vie et de la santé » du programme 172 « Recherches scientifiques et technologiques pluridisciplinaires », au détriment de l'action 04 « Maîtrise de l'accès à l'espace » du programme 193 « Recherche spatiale », et au profit de la recherche sur les causes des cancers chez les adultes et les enfants.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaFrancis Chouat, rapporteur spécial de la commission des finances, de l'économie générale et du contrôle budgétaire :

...tagions bien évidemment la même préoccupation que lui. Ces deux amendements visent à abonder le volet recherche du plan hydrogène. Or il se trouve que ce plan est mis en oeuvre principalement par l'Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie, l'ADEME, dont les crédits relèvent de la mission « Écologie, développement et mobilité durables ». Le déploiement de l'hydrogène est un enjeu scientifique majeur, qui mobilise de nombreux instituts de recherche, parfois de longue date. À ce titre, le Commissariat à l'énergie atomique et aux énergies alternatives finance des recherches importantes en la matière, notamment concernant la décarbonation de la production d'hydrogène – il faut savoir que celle-ci émet du CO2 lorsqu'elle est faite à partir d'hydrocarbures, ce qui complexifie encore le suje...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaJeanine Dubié :

...ements enregistrés par Santé publique France. En 2018, en effet, 67 000 nouveaux cas ont été diagnostiqués, soit 104 pour 100 000 habitants, contre 69 pour 100 000 habitants en 2017. Nous sommes aujourd'hui confrontés à une maladie qui se développe fortement et sur laquelle la recherche est insuffisante. Cet amendement vise donc à doter de 20 millions d'euros supplémentaires l'action « Recherche scientifique et technologique en sciences de la vie et de la santé », en les attribuant à l'INSERM, afin que des spécialistes des formes sévères et persistantes de la maladie de Lyme puissent travailler sur ces questions, notamment sur les co-infections.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaLaurence Trastour-Isnart :

...elques années. Il nous semble donc indispensable de mieux comprendre cette maladie, afin d'améliorer réellement la vie des malades. Aussi proposons-nous d'augmenter de 11 millions d'euros les fonds publics dédiés à la recherche fondamentale, appliquée et clinique contre la maladie vectorielle à tiques, en attribuant ces fonds à l'INSERM. Ils pourraient être attribués, sous le contrôle du conseil scientifique de la Fédération française contre les maladies vectorielles à tiques, à des projets de recherche menés avec des spécialistes des formes sévères et persistantes des maladies de Lyme et des co-infections.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaNicole Trisse :

...ux menés au titre du groupe d'études sur la maladie de Lyme, dont je suis la coprésidente avec M. Vincent Descoeur, nous nous sommes rapidement rendu compte qu'un meilleur accompagnement de la recherche sur cette maladie – je pense notamment aux tests de dépistage – pourrait permettre d'apaiser les tensions. Nous nous trouvons, en effet, face des patients totalement désemparés et à une communauté scientifique et médicale fracturée. L'errance médicale de ces patients représente un véritable coût pour notre société et nous devrions plutôt concentrer les efforts financiers sur la recherche concernant cette maladie. Je vous propose donc, avec cet amendement, d'augmenter de 10 millions d'euros les crédits de l'action 15 « Recherche scientifique et technologique en sciences de la vie et de la santé », au s...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaFrédéric Reiss :

...es patients atteints par des formes sévères de la maladie de Lyme et chez ceux qui, faute de diagnostic, sont en errance thérapeutique. Le présent amendement, déposé à l'initiative de M. Descoeur, a donc pour objet de donner à la recherche les moyens nécessaires pour pouvoir apporter des réponses aux malades et aux associations qui les défendent, en abondant les crédits du programme « Recherches scientifiques et technologiques pluridisciplinaires » de 10 millions d'euros pris sur ceux du programme « Recherche culturelle et culture scientifique ».

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaDino Cinieri :

... pense entre autres, malheureusement, à une jeune femme de Saint-Marcellin-en-Forez qui en a été victime. C'est pourquoi nous avons déposé ces amendements qui visent à attribuer à l'INSERM des fonds indispensables à la recherche sur les formes sévères et persistantes de la maladie de Lyme et les co-infections de celle-ci. La recherche permettrait de mettre progressivement un terme aux polémiques scientifiques et d'apporter au patient des solutions sur les plans diagnostique et thérapeutique, répondant à toutes les situations. Nous proposons que le montant de ces fonds supplémentaires s'élève à 10 millions d'euros.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaYannick Kerlogot :

... projet de loi de programmation pluriannuelle de la recherche. Je pars du constat suivant : seules la recherche publique, dont l'enseignement supérieur, et la recherche industrielle, essentiellement dans les grandes entreprises, bénéficient aujourd'hui des politiques publiques de recherche et innovation. Si l'on peut comprendre la volonté d'optimisation et de recentrage eu égard à la compétition scientifique internationale, on est aussi en droit de constater la concentration des moyens et des investissements humains sur le territoire. Il s'agit donc de plaider pour une première reconnaissance de la partie de la société qui est exclue des politiques publiques et des activités de recherche et d'innovation depuis les années 1960 : des acteurs du secteur non marchand, comme des associations, des syndica...