Les amendements de Éric Coquerel pour ce dossier

8 interventions trouvées.

J'entends la réponse du ministre délégué. Il n'en reste pas moins qu'au vu des différentes lois de finances rectificatives que nous examinons depuis un an et demi, il aurait été nécessaire, ne serait-ce que pour faire payer une taxe à ceux qui ont profité financièrement de la crise, d'évoquer le registre des recettes. Cet amendement, que nous ...

C'est un amendement que nous défendons régulièrement, notamment parce que nous n'obtenons pas de réponse satisfaisante. Il vise à supprimer le crédit d'impôt recherche (CIR). Je ne recevrai sans doute pas de réponse, mais je tiens à dire au préalable que supprimer le CIR n'interdirait pas d'aider au cas par cas des entreprises, notamment des PM...

Il s'agit d'instaurer en France une taxe sur les multinationales – dite impôt universel sur les multinationales –, à hauteur des bénéfices qu'elles réalisent dans le pays. Je n'entrerai pas dans le détail, puisque seules deux minutes me sont imparties, mais les travaux de l'économiste Gabriel Zucman sur le sujet sont très sérieux. Sur la base d...

J'aurais apprécié que M. le ministre de l'économie, des finances et de la relance soit présent aujourd'hui. C'est rarement le cas lors des discussions budgétaires, ce qui n'est pas normal.

M. Le Maire n'aurait-il pas pu vous remplacer, monsieur le ministre délégué ? Son absence et votre départ ne constituent pas des signes positifs. Quant au rôle de la France dans l'instauration de la taxe mondiale de 15 % sur les sociétés, rappelons que le président américain Joe Biden avait proposé un taux minimum de 21 %, que la France a jugé...

Je remarque une chose : vous ne voulez pas confisquer aux plus aisés de nos concitoyens ; en revanche, confisquer aux chômeurs ne vous pose pas de problème.

Bien sûr ! Il y a pour vous un invariant auquel il ne faut pas toucher : les cadeaux fiscaux, notamment ceux qui sont faits aux plus riches. Et il y a un autre invariant, qui consiste à l'inverse à prendre toujours aux mêmes, notamment aux plus déshérités de nos concitoyens. Ensuite, monsieur le rapporteur général, votre discours peut paraître...

On comprend que vous ne vous donniez même pas la peine de nous fournir des chiffres qui le prouveraient, puisque ce n'est pas vrai. Bien sûr – mon collègue Dufrègne vient de le dire –, nous nous attendions à ce que les dividendes explosent ! C'était le but de la mesure. Vous ne pouvez pas nous dire : « Regardez, la flat tax fonctionne, ...