Les amendements de Fabrice Brun pour ce dossier
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Cet amendement d'appel me permet d'insister sur l'atout écologique majeur qu'est la séquestration très importante de carbone par les forêts françaises. Elles comptent 16 millions d'hectares – contre 11 millions d'hectares en Allemagne – , et même 8 millions de plus si l'on ajoute les forêts ultramarines, autant de puits de carbone qui séquestre...
Je persiste, signe et maintiens mon amendement. Je voudrais en effet mettre la question que j'ai soulevée en regard de l'annonce de la France qui, lors du dernier sommet du G7 à Biarritz, a décidé de contribuer au Fonds vert pour le climat à hauteur de 1,5 milliard d'euros : il faudra dire d'où proviendra ce financement, alors que l'on est inca...
J'aimerais vous entendre, monsieur le ministre, sur la façon dont on pourrait l'appréhender et faire en sorte que la forêt française entre dans les bourses d'échange de CO2.
Tous les députés, monsieur le ministre, ont leurs marronniers ; pour ce qui me concerne, ce sont plutôt des châtaigniers.
L'an dernier, nous avons eu le même débat dans le cadre du PLF ; depuis, des échanges ont eu lieu avec vos services, notamment dans le cadre de l'amicale parlementaire de la châtaigneraie, dans laquelle s'impliquent des députés et des sénateurs que je salue. L'amendement tend à ponctionner 5 millions d'euros de crédits alloués à l'administrati...
Vous parlez de la filière bois ; moi, je parle de la filière fruits, ce n'est pas pareil !
J'aurais aimé un engagement plus précis du ministre sur les programmes de recherche, en particulier sur le porte-greffe résistant à la maladie de l'encre, ainsi que sur l'avancement du projet CASDAR ; mais j'ai toute confiance en son expertise, car il connaît bien la région et la filière. Je retire donc mon amendement.
Avec cet autre amendement d'appel, je veux évoquer les effets croisés du dérèglement climatique et de l'augmentation des échanges mondiaux. Un nombre croissant d'espèces invasives, souvent venues d'Asie, se développent sur notre sol, en l'absence de leurs prédateurs naturels. Je pourrais encore vous parler du cynips du châtaignier, mais nous di...
J'entends l'argument technique et budgétaire de M. le rapporteur, qui semble être suivi par M. le ministre. Mais je voudrais reprendre un exemple concret : celui de la pyrale du buis que connaissent 85 % des Français – et demain, malheureusement, 100 %. Aujourd'hui, qui encourage l'INRA dans sa mission de recherche sur les insecticides de rempl...
Comment faire pour inscrire cette espèce sur la liste des dangers sanitaires de seconde ou de première catégorie du code rural et permettre à l'autorité administrative d'enclencher des moyens de lutte ? Je pose ces questions concrètes depuis deux ans dans cette assemblée sans obtenir de réponse, et je ne suis pas certain d'en avoir une ce soir !