Les amendements de Fiona Lazaar pour ce dossier
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Nous augmentons de 30 % les aides à la garde pour les familles monoparentales parce que, nous aussi, nous savons qu'être une maman seule, c'est cumuler les difficultés financières et professionnelles.
Nous investissons 400 millions d'euros par an dans la réforme de l'hôpital et supprimons le numerus clausus pour les médecins parce que, nous aussi, nous rageons qu'il y ait encore dans notre pays des endroits où il est impossible d'avoir accès à un médecin.
Nous proposons de regrouper et d'automatiser les aides sociales parce que, nous aussi, nous sommes révoltés que de nombreux Français n'aient pas recours aux aides auxquelles ils ont pourtant droit :
un Français sur trois qui a le droit au revenu de solidarité active ne le demande pas car il trouve cela stigmatisant ou par méconnaissance.
Aujourd'hui, certains soufflent sur les braises de la discorde, veulent alimenter ce sentiment d'injustice en jouant aux pompiers pyromanes. Moi, je veux croire plutôt dans la capacité des élus de la République, quelle que soit leur affiliation partisane, à travailler à des solutions.
L'heure est maintenant à l'apaisement et au dialogue. Nous sommes dans un moment de vérité où il nous faut faire vivre plus encore la promesse d'une politique différente, une politique qui mise sur la concertation, sur la coconstruction avec les Français et sur le dépassement des clivages.
La « grande concertation » voulue par le Président de la République, annoncée et animée par le Premier ministre, en est l'occasion, et les députés de La République en marche vont s'y impliquer, avec tous les acteurs des territoires, sans considération politique. Cette concertation vise à aboutir à des mesures concrètes, qui devront apporter des...
Nous comprenons cette souffrance exprimée par des Français qui travaillent, qui « triment », comme on dit, et qui ne voient pas le bout du tunnel. C'est pourquoi que je me suis engagée. C'est pourquoi cette Assemblée s'est renouvelée profondément,
avec des femmes et des hommes qui étaient salariés, professeurs, fonctionnaires, dans la santé, dans le monde associatif, dans le public ou dans le privé. Aujourd'hui, nous souhaitons continuer à nous battre pour construire une société dans laquelle on vit mieux de son travail, une société dans laquelle notre lieu ou notre nom de naissance ne ...
Ce projet, nous continuerons à le défendre avec la même conviction, avec humilité, avec sérénité et avec pour seule boussole l'intérêt général.