Les amendements de Frédéric Petit pour ce dossier
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J'ai entendu dire ici qu'il fallait s'appuyer sur les dernières données scientifiques. Rassurez-vous : je ne refuse pas de douter comme vous nous en accusiez tout à l'heure. Je crois au contraire que les scientifiques sont ceux qui doutent le plus. Faisons attention à ces notions de doute et de certitude. Le président Christian Jacob lui-même ...
Mais les fermes de cette filière seront soumises aux règles de la traçabilité à l'animal, au contrôle de l'alimentation. C'est bien pour ces raisons qu'il est difficile pour les Canadiens d'investir aujourd'hui. Ces dizaines de milliers d'animaux nourris selon les normes canadiennes ne sont pas exportables, ce que vous avez vous-même reconnu. P...
Non : pour être agréées par cette filière dédiée, les fermes devront être contrôlées de A à Z. Enfin, beaucoup ont souhaité réinventer le commerce international, modifier les coopérations. Comment procéder sans écrit ? Je voudrais bien qu'on me l'explique. Vous ne voulez pas signer de traité, mais vous voulez réorganiser, vous voulez de nouvel...
Je voudrais faire deux remarques – un peu collatérales, certes – sur des propos qui ne me semblent pas dignes de ces débats. Les premiers ont été tenus au début de la soirée par M. Dumont – je vois qu'il est parti…
Je voulais lui dire que le président Lescure représente les Français du Canada, et que les députés des Français établis à l'étranger, comme lui et moi, représentent autant de citoyens que vous, chers collègues – un peu plus, même, et des citoyens qui sont parfois plus difficiles à joindre.
J'ai trouvé la remarque de M. Dumont extrêmement désagréable, permettez-moi de le dire. Nos circonscriptions à l'étranger sont des circonscriptions françaises. Je voudrais, en second lieu, répondre à M. Dupont-Aignan au sujet de l'argument, souvent invoqué, qui compare l'exception culturelle française à un protectionnisme national. Cela m'éner...
Dans ce qu'a dit le président de la commission des affaires économiques, l'important n'est pas tant que les importations en provenance du Canada représentent 0,5 % de notre consommation, mais que nous n'avons d'accord ni avec l'Arabie saoudite, ni avec la Russie, ni avec la Norvège.
Monsieur Ruffin, ne m'interrompez pas, s'il vous plaît. Je ne conteste pas qu'il faille réduire la consommation d'énergies fossiles et j'ai voté des deux mains l'interdiction de la recherche et de l'exploitation des hydrocarbures sur l'ensemble du territoire français. Tout ce que nous vous disons, c'est qu'un accord vaut mieux que la pagaille.
J'avoue être un peu perturbé par le flou que vous introduisez. J'aimerais voir la tête de nos amis parlementaires canadiens, qui se prononcent eux aussi à la majorité, si on leur disait que des parlementaires français ont la solution pour leur pays !
Je ne comprends pas très bien. Il était question tout à l'heure des produits qui mettent en danger l'agriculteur mais ne contaminent pas la viande. Il revient aux Canadiens de se protéger. Si les Canadiens venaient nous dire ici ce que nous devons faire dans ce parlement, nous réagirions. Je suis membre d'un parti appelé « Mouvement démocrate...
J'ai la même responsabilité que vous, madame Obono. Je vote en mon âme et conscience ; je ne suis pas payé par Total ; je réfléchis.
Et nous avons énormément travaillé à la commission des affaires étrangères. Je relève simplement une petite contradiction dans vos propos, …