Les amendements de Gilles Lurton pour ce dossier

33 interventions trouvées.

… alors que beaucoup d'entre vous m'ont dit qu'ils auraient souhaité la voter mais qu'ils en avaient été empêchés. Dimanche, nous avons appris officiellement que votre gouvernement avait décidé de répondre favorablement à cette demande. Monsieur le Premier ministre, je veux vous dire que c'est avec une très grande émotion que j'ai appris cette...

émotion pour les 535 anciens combattants « morts pour la France » entre 1962 et 1964 qui ont été dénombrés. C'est à eux que je veux rendre hommage aujourd'hui. Mais, monsieur le Premier ministre, vous attribuer aujourd'hui tout le travail réalisé pour parvenir à ce résultat, seulement quelques jours après avoir rejeté la même proposition, manq...

Monsieur le Premier ministre, depuis quatre mois je travaille avec un de mes collègues de la majorité dans le cadre d'une mission d'information sur la politique familiale. Ce travail nous a permis de faire de nombreuses propositions. Je pense notamment au versement de la prime de naissance avant la naissance de l'enfant, disposition que le gro...

Je pense à la conciliation de la vie familiale et de la vie professionnelle, à la multiplication des solutions d'accueil pour les jeunes enfants. Je pense, enfin, à l'universalité des allocations familiales. Cette universalité signifie que toutes les familles françaises, sans aucune distinction, bénéficient de cette politique. Elle repose sur ...

Monsieur le Premier ministre, aujourd'hui, ce principe est mis à mal par une proposition de votre majorité visant à supprimer le quotient familial.

Il s'agit de la ligne rouge qu'il ne fallait pas franchir ! Pour nous, c'est la remise en cause du fondement de la politique familiale, qui veut qu'une famille qui a des enfants ne voie pas son niveau de vie diminuer par rapport à une famille qui n'en a pas.

Nous n'acceptons pas cette proposition et nous refusons de nous associer à un rapport qui pourrait aller vers la suppression du quotient familial. Monsieur le Premier ministre, nous vous demandons de nous faire connaître la position du Gouvernement sur le sujet. Est-ce celle du Président de la République qui, lorsqu'il était candidat, proposai...

Madame la secrétaire d'État chargée des personnes handicapées, je souhaite vous poser une question que vous a déjà posée notre collègue Ericka Bareigts au sujet des ressources dont disposent les personnes en situation de handicap, car votre réponse ne nous satisfait pas.

En effet, sous couvert d'une augmentation de 50 euros prévue pour le 1er novembre 2018, vous reprenez d'une main aux personnes handicapées ce que vous leur donnez de l'autre.

L'explication est simple : vous augmentez l'allocation aux adultes handicapés de 50 euros mais pas le plafond pour les personnes handicapées qui vivent en couple.

Vous auriez dû prévoir d'augmenter de 50 euros le plafond en deçà duquel une personne handicapée qui vit en couple et dont le conjoint travaille peut prétendre à cette allocation.

Par conséquent, plus de 250 000 personnes risquent de se trouver exclues de l'allocation aux adultes handicapés. Joli tour de passe-passe financier du Gouvernement sur le dos des personnes handicapées. Ce recul des droits des personnes handicapées est inacceptable et contraire à tous les travaux entrepris jusqu'à présent. Madame la secrétaire...

Par ailleurs, de quel droit les priveriez-vous du droit de vivre en couple ? Allez-vous enfin revoir le niveau du plafond ?