En effet, il refuse que le projet de loi portant lutte contre le dérèglement climatique et renforcement de la résilience face à ses effets, qui n'est autre que la traduction législative de la volonté des 150 membres de la Convention citoyenne pour le climat, voie le jour.
Au prétexte d'un prétendu manque d'ambition du texte, les insoumis refusent que l'on puisse adopter des avancées majeures : ils refusent l'instauration d'un « score carbone », l'interdiction de la vente de véhicules polluants en 2030, la rénovation des passoires thermiques d'ici 2028, les zones à faibles émissions dans les villes. Ils refusent que l'on privilégie les trajets en train à ceux en avion, ils refusent la diminution drastique de l'artificialisation des sols, l'amélioration de la qualité des repas dans les cantines, la création d'un délit d'écocide, et ainsi de suite !