Vous ne manquez pas d'air, monsieur Mélenchon, vous ne doutez vraiment de rien ! Bien sûr que les ingénieurs sont prêts, seulement ce n'est pas le cas de tous les agriculteurs.
J'ai regretté, monsieur Mélenchon, que votre argumentaire de trente-cinq minutes soit essentiellement consacré à la dénonciation de certains faits et des défaillances du projet de loi, au détriment de toute proposition alternative, puisque vous n'en avez formulé que très peu.