Pourtant, ces manques de doses, ce sont des capacités de réanimation qui explosent – 150 % d'occupation dans le sud de la Seine-et-Marne – , ce sont des médecins et personnels soignants qui tirent la sonnette d'alarme face au risque d'être confrontés au tri des patients. Votre discours bien rodé sur l'accélération de la vaccination ne s'observe pas sur le terrain.
Monsieur le Premier ministre, ma question sera simple : après avoir ignoré les alertes des scientifiques sur la reprise de l'épidémie, votre gouvernement assumera-t-il la responsabilité du tri des malades dans les hôpitaux ?