Dans ces conditions, votre seul argument est que cette association n'aurait pas signé la charte des principes pour l'islam de France. Or ce document n'a aucune valeur. Récemment, le recteur de la grande mosquée de Paris, pourtant partisan de cette charte, a tancé Mme la ministre Schiappa, lui disant que « cette charte n'est pas un acte du Gouvernement »