Oui, je vous le confirme. Le réchauffement climatique ne s'arrête pas aux frontières. Nous devons donc nous en occuper chez nous, mais aussi à l'échelle internationale. Nous devons prendre certaines mesures, comme nous le faisons par exemple à l'échelle européenne. Nous travaillons ainsi à un mécanisme d'ajustement carbone – c'est-à-dire à une taxe carbone – aux frontières, une mesure importante prise par l'Europe et qui va permettre de ne pas pénaliser nos entreprises, qui font des efforts, face à ce que l'on appelle des fuites de carbone – qui correspondent en réalité à des délocalisations.