Je rappelle que la protection de l'environnement est en soi un motif d'intérêt général. Il ne faut donc pas voir une restriction dans le fait que ces mots figurent dans mon amendement.
L'open data, ce n'est pas se contenter de rendre disponibles des données existantes. Le processus réclame beaucoup d'efforts et doit faire l'objet d'une réflexion en amont. Il a aussi des effets sur les systèmes d'information. Aussi est-ce un investissement. On parle beaucoup des réutilisateurs – on met ainsi volontiers en lumière, dans le contexte de la crise sanitaire, le travail de Guillaume Rozier sur covidtracker. fr ; sauf que, en amont, et il faut les saluer, de nombreuses personnes travaillent pour mettre ces données à disposition dans le champ public ou le champ privé.
Mon amendement vise le même objectif que les vôtres tout en reconnaissant la nécessité d'un encadrement. À cet égard, il me paraît à la fois équilibré et très ambitieux.