Monsieur le rapporteur général, vous ne serez pas surpris d'apprendre qu'en dix-neuf ans de vie parlementaire, j'ai connu des textes moins bavards que ce projet de loi… Je ne pense pas qu'ajouter une petite précision sur l'élevage puisse faire chanceler son équilibre ni remettre en cause sa sobriété.
À part cela, je suis entièrement d'accord avec vous ainsi qu'avec Mme la ministre, sauf sur un point : ici, nous faisons également de la politique. Personne n'a obligé le président de l'Assemblée nationale à faire afficher des portraits d'agriculteurs et d'éleveurs sur les grilles du Palais-Bourbon,