Le dispositif français ne mentionnait pas explicitement les coffres-forts, mais la logique était la même : les avoirs détenus à l'étranger sous forme de lingots et de pièces qui n'avaient pas été déclarés devaient l'être. La majeure partie des déclarations porte sur les comptes bancaires, principalement suisses, mais ce qui vaut pour ces comptes dissimulés vaut pour les biens immobiliers, l'or et les autres biens mobiliers non déclarés.