Je ne répondrai pas à M. Dive, dont je regrette l'opposition au travail considérable mené par M. Besson-Moreau pour améliorer les outils créés par la loi ÉGALIM. La situation actuelle des producteurs est telle qu'il faut chercher toutes les idées qui peuvent permettre d'améliorer leur rémunération. Il y va de l'avenir du métier comme de la souveraineté alimentaire de la France.
En vous écoutant, madame la ministre, et au cours des échanges que j'ai eus avec M. Denormandie, j'ai constaté, chez le Gouvernement, la volonté d'avancer. J'ose espérer qu'il le fera rapidement, car nous n'avons plus le temps d'attendre. J'espère que les signaux que nous vous envoyons seront rapidement suivis d'effets. En attendant, et afin d'apaiser le débat, je retire mon amendement.