Monsieur Dive, il n'était pas question pour moi de tourner quoi que ce soit en dérision, mais de faire la démonstration que si les amendements déposés par des députés siégeant sur tous les bancs pouvaient avoir du sens pris un par un, l'adoption d'un grand nombre d'entre eux ferait perdre le sens même de l'inscription de l'éducation au développement durable dans le code de l'éducation.
L'alimentation est au coeur de la question de la santé, elle-même déjà clairement inscrite à l'article L. 121-4 du code de l'éducation. Je maintiens en conséquence l'avis défavorable que j'avais exprimé sur le sujet en commission spéciale.