L'idée est bonne : de nombreux enseignants, pleins de bonne volonté, sont sûrement prêts à accomplir cette mission. Toutefois, si aucun cadre n'est fixé – je crois savoir de quoi je parle – , si jamais le programme ne prévoit pas qu'ils disposent d'une latitude pour exercer cette liberté pédagogique, c'est un voeu pieux. On charge leur barque, on se donne bonne conscience, mais ce n'est pas pour autant que la sensibilisation sera faite.