C'est pour une question de recettes, dites-vous, madame la rapporteure.
Pour cette raison, on accepte des atteintes à notre santé – que vous avez reconnues, madame la ministre – et à la biodiversité. Plus important encore, à mon avis : on accepte de livrer nos vies au marketing des multinationales, de n'être considérés que comme des porte-monnaie à pattes, …