Ensuite, la ministre s'est engagée en commission spéciale à ce que l'expérimentation ne concerne pas plus de 10 % de la population française, afin d'éviter les risques que vous évoquez, notamment sur l'emploi. Cet engagement, nous allons vous proposer de l'inscrire dans la loi, afin que ne subsiste aucune ambiguïté.
Nous avons entendu vos inquiétudes et nous nous efforçons de concilier l'objectif écologique de réduction des déchets et l'impératif de justice sociale qui nous impose de penser aux Français les plus précaires – personnes en situation de handicap, retraités ou étudiants qui vivent de petits boulots.
Compte tenu des avancées enregistrées en commission et de celles que nous allons réaliser en séance, j'émets un avis défavorable sur ces amendements de suppression.