En répondant à ma collègue Sandrine Mörch, j'ai ajouté une réponse pour M. Aubert, car sa question est importante.
J'ai indiqué que parmi les personnes qualifiées, il pourrait y avoir des formateurs, ainsi que l'a proposé Mme Mörch ; des représentants d'associations qui sont proches des jeunes et disposent de véritables compétences pour leur dispenser des enseignements ; des experts qualifiés dans le domaine de l'environnement qui, dans les cabinets, accompagnent les instances représentatives du personnel – nous les avons évoqués tout à l'heure ; d'anciens professionnels, voire d'anciens parlementaires qui disposeraient d'une véritable expertise sur ces sujets.