Mais c'est parce que leur famille parle très bien français. Si l'on généralisait cette démarche, on prendrait le risque d'exclure les familles qui ne parlent pas le français à la maison, et l'on se retrouverait alors avec des enfants dont le français serait exclu de l'environnement linguistique – je reçois régulièrement des demandes d'évolution sur le sujet. C'est pourquoi j'entends préserver le cadre défini pour les examens du second degré, pour le diplôme national du brevet (DNB) comme pour le baccalauréat.