Renforcer la politique familiale, aujourd'hui, c'est penser aux enfants de demain, à la société française ainsi qu'au modèle social et solidaire d'après-demain.
Nous avons entendu l'annonce du Gouvernement s'agissant d'une prochaine concertation ; nous souhaitons y prendre toute notre part, sans dogmatisme et avec la volonté de préserver notre politique familiale, dans l'intérêt de tous.
Nous souhaitons également réaffirmer l'universalité des allocations familiales.
Enfin, nous regrettons que le versement de la prime à la naissance ne puisse pas intervenir avant l'arrivée de l'enfant, comme nous l'avions proposé en première lecture : cela aurait constitué une mesure de justice permettant aux familles, en particulier les plus modestes, de pouvoir faire face à l'ensemble des frais induits.