supprimé par mégarde, ou par erreur, en commission, et que vous vous ouvriez, monsieur le ministre, à cette perspective. De quoi s'agit-il ? D'un conventionnement entre la commune de résidence de l'enfant et l'école qui l'accueille. Cette convention, le législateur peut en donner le cadre général, comme c'est le cas pour les écoles privées sous contrat d'association : il vous reviendrait alors, monsieur le ministre, de préciser, par décret, l'application de cette disposition.
Je tiens au passage à rappeler à l'orateur précédent qu'il ne faut pas confondre langues régionales et langues étrangères : enseigner le breton, le corse ou le basque, ce n'est pas enseigner l'anglais, l'allemand ou le japonais.